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Mon Népal à moi
7 janvier 2017

C'est toujours là que ça chie


Inutile de me demander si la « Date 2 » s’est bien passée … je vous l’ai dit (et pour une raison obscure que j’ignore), C’EST TOUJOURS LÀ QUE ÇA CHIE. Bref, il n’y en a pas eu, du moins pas pour le moment…

Et ce n’est pas faute d’avoir essayé : je l’ai texté deux fois, et dans les deux cas si j’ai obtenu une réponse quasi immédiate et plutôt joviale, aucune date n’a été avancée. Après un « laisse-moi regarder mon agenda » et malgré un « je suis libre toute la semaine », cet homme à l’horaire plus chargé qu’un Ministre en exercice n’a jamais trouvé le moindre petit créneau pour placer une ballade, un café ou même un texto …

Comprenons donc ce qu’il y a comprendre … et comme le disait si justement ma grand-mère, « pas de réponse est une réponse quand même ». Grand-maman, ta sagesse infinie est majestueuse!

Donc, de par ce fait même, et malgré qu’il continue de « liker » les photos que je publie inlassablement sur mon compte Instagram (photos qu’il semble donc apprécier pour de vrai), « Monsieur Cute » est passé (ou trépassé, c’est selon, encore une question de vocabulaire) sous un 18 roues.

Ne vous inquiétez pas outre mesure, je crois qu’il n’a pas souffert ;-))

Janvier commence donc bien mal : avec déjà un premier cadavre…

Bonne nouvelle (ou nouvelle tout court, diront certains), « Monsieur Thermostats » a pris la peine de m’envoyer ses vœux pour la nouvelle année, et ce en même temps que ses bons souhaits pour mon anniversaire. J’ai apprécié le geste et cette main tendue, à laquelle j’ai répondu par un message gentil et poli, rien de trop ostentatoire ni de vulgaire. Un prêté pour un rendu, un petit clin d’œil qui signifie que nous sommes toujours là, distants et proche à la fois.

Enfin, au palmarès des rencontres fortuites, j’ai croisé un publiciste fort mignon et un professeur d'Histoire donc la chevelure hirsute et la barbe négligée m’ont paru fort attrayantes. J’ai eu le bonheur de confectionner des biscuits de Noël avec le premier et de croiser le second dans mon immeuble (oui oui).

Alors, encore une fois, et à défaut de trouver le bonheur dans ma rue (et oui, on part souvent trop loin alors que la bonne fortune n’est pas forcément à l’autre bout du monde), attendons de voir si le Bonheur est dans le pré (nouvelle saison, nouvelle récolte et toujours sur la chaîne V).

Mais ne vous y trompez pas, je compte bien arpenter ma rue pour voir si l’enseignant hirsute y sévit aussi ;-))))

 

 

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