Un râteau de perdu, 10 pelles ... (roulées, les pelles !)

Bon, maintenant que vous savez que je me suis pris un râteau en décembre dernier (lire ou relire ici), je ne vois pas pourquoi je devrais faire ma précieuse ici en vous racontant n’importe quoi. Oui j’ai fait les fameux « premiers pas », pourquoi ça vous étonne ? Et oui ce fut un fiasco monumental. Mais cela ne veut rien dire, on a toujours une deuxième chance au grattage, non ?

Non ! D’où ça sort ça, au fait ? …

Bref, les paroles du psy résonnent encore dans ma tête comme une mauvaise chanson de Noël (mais y en-a-t-il de bonnes) mais au diable les aprioris, tâchons de rester positive et ouverte à la négociation.

J’ai donc passé une bonne partie de la nuit d’hier et de la journée d’aujourd’hui (ben quoi, on s’occupe comme on peut) à peser le pour et le contre, à chercher des solutions à mon dilemme.

Il n’y a pas quatre chemins me direz-vous et vous avez mille fois raison. Il en existe deux : ça passe ou ça casse ! Mais avant que ça casse sortons l’artillerie lourde et assurons nous d’avoir mis sur la table, notre fameux joker …

Fini le tour de ville en calèche, on n’est plus au stade de tourner autour du pot ! Vas-y Suzanne, montre nous de quoi tu es capable. Ma grand-mère disait toujours « on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre », je suppose que les hommes non plus  ;-)))

Rendons-nous aussi mystérieuse que lui. Jouons les femmes indépendantes et autonomes (mon agenda est aussi vide que le porte-monnaie de l’Héritière mais qui le sait à part moi ?) …

Il est temps de jouer d’audace (sans faire la chaudasse, tiens ça rime), de sortir le regard qui tue et de remballer les « réflexes de Môman ». Plus de niaisage, si la nouvelle attitude ne vient pas à bout de décrocher l’Homme avec un grand H du donjon dans lequel il se terre (comme une moule désespérément accrochée à son rocher) alors je m’avouerai vaincue et résignée. Promis juré craché, je ne vous embêterai plus avec ce barbu là …

Aussi, j’ai définitivement mis une croix sur mes applications mobiles : ce n’est certes pas parce que je n’ai pas vu le loup depuis presque deux ans maintenant (c’est-à-dire perpète) qu’il faut absolument se jeter sur le premier boudin qui passe … on a sa fierté quand même (quand même un petit peu).

Dans quelques jours/semaines sonnera l’hallali ou alors la fin d’une longue période d’errance.

Alors, on se tient au courant et on se fait une bouffe …